Le métier d'avocat fiscaliste est un métier qui consiste à conseiller et défendre les intérêts de ses clients en matière fiscale.
Il peut intervenir dans des domaines très variés comme l’impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés, la TVA, l’impôt sur la fortune immobilière, la taxe foncière, la taxe d’habitation ou encore la taxe professionnelle. Pour exercer ce métier, il faut avoir une formation juridique de niveau bac +5 minimum et obtenir le certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA). Vous pouvez également prendre en compte les conseils d'un avocat numérique, pour vos besoins juridiques si vous travaillez sur le web.
Les avocats fiscalistes sont généralement consultés pour des questions fiscales.
Ils peuvent intervenir dans divers domaines comme l’impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés ou encore la TVA.
Il est possible de faire appel à eux pour des conseils en matière de droit fiscal et aussi pour se défendre face à un redressement fiscal.
L’avocat fiscaliste est un métier qui nécessite des compétences juridiques, fiscales et comptables.
Il a pour mission de conseiller ses clients sur les différentes mesures à prendre en matière d'impôts. C'est également un expert du droit fiscal qui lui permet de défendre les intérêts de son client devant le juge afin d'obtenir gain de cause.
En effet, les avocats fiscalistes sont des juristes spécialisés qui possèdent une formation en droit et de solides connaissances en matière fiscale.
Les avantages d’un avocat fiscaliste? Un bon avocat fiscaliste saura vous expliquer clairement comment il va procéder pour défendre au mieux votre intérêt.
Il est important qu'il soit disponible, à l'écoute de vos besoins et surtout réactif par rapport aux évolutions juridiques afin de conserver la qualité de son travail. Dans un premier temps, l’avocat fiscaliste doit être capable d'analyser vos problématiques et ensuite identifier les solutions adaptées à votre situation personnelle. Pour cela, il devra effectuer une analyse approfondie du dossier que vous lui soumettez ou encore assister le client tout au long du processus contentieux (contrôle ou redressement).
Lorsqu'un contrôleur arrive chez un contribuable, il ne dispose généralement pas des compétences nécessaires pour analyser correctement la situation fiscale dudit contribuable. Cependant, l’avocat fiscaliste peut intervenir en amont pour anticiper les risques liés aux différents impôts comme les plus-values immobilières par exemple.
L’avocat fiscaliste peut intervenir dans toute opération fiscale.
Il peut ainsi conseiller ses clients en matière de réduction ou d'exonérations fiscales, et assister les entreprises pour la constitution des déclarations fiscales, le calcul des impôts à payer et celui du montant à rembourser.
Il est également en mesure de lutter conte l’abus de droit grâce aux procédures judiciaires qu’il met en place. Enfin, il accompagne ses clients au cours des contrôles et contentieux afin que ceux-ci soient menés à bien.
L’avocat fiscaliste est un professionnel du droit dont les honoraires sont libres.
Le coût d'un avocat fiscaliste dépend donc de plusieurs critères, notamment la nature des prestations fournies par ce professionnel et le type de client auquel il s'adresse.
Les honoraires peuvent être fixés au forfait ou calculés sur la base d'un pourcentage sur le résultat obtenu par l’avocat fiscaliste en fonction du dossier à traiter. En outre, selon l’article 10 de la loi n°71-1130 du 31 décembre 1971 modifiée par la loi n°91-647 du 10 juillet 1991 relative à l’aide juridique, "l'honoraire de l'avocat est fixé en tenant compte des difficultés particulières de l'affaire, de la situation du client et des frais exposés par celui-ci." Il faut savoir que les honoraires doivent faire mention obligatoirement dans une lettre recommandée avec accusé réception adressée à son client.
Parce que l’avocat fiscaliste doit être un spécialiste dans son domaine, il est important de bien choisir votre avocat fiscaliste.
Il faut donc vous assurer qu’il soit diplômé et inscrit au barreau du pays où se situe le siège social de la société à laquelle vous souhaitez vendre des actions.
L'avocat fiscaliste doit également posséder une bonne connaissance du droit international afin d'être en mesure de défendre les intérêts des clients étrangers. Enfin, il convient aussi que l’avocat fiscaliste puisse s’exprimer couramment en anglais pour pouvoir répondre aux exigences des clients qui ne parlent pas français. Quels sont les points forts de ce métier ? Ce professionnel est un expert en matière juridique et fiscale, cela signifie qu'il saura répondre à toutes les questions relatives aux impôts et aux taxes dont peut faire face un chef d'entreprise ou toute autre personne physique ou morale.
Lorsque vous recherchez un avocat fiscaliste, assurez-vous que celui-ci connaît son sujet sur le bout des doigts, car il devra être capable d’apporter une aide précieuse à ses clients pour résoudre leurs problèmes concernant les impôts et taxes diverses liés à leur activité.
Les atouts majeurs de ce métier sont : > La maîtrise pointue du droit > Une grande capacité relationnelle > Des compétences techniques
Un avocat fiscaliste peut intervenir dans de nombreux domaines, tels que l’impôt sur le revenu ou encore les cotisations sociales, la taxe professionnelle ou la TVA.
Il peut également conseiller ses clients en matière de droit civil (droit des contrats par exemple) et enfin traiter des questions relatives à la propriété intellectuelle.
Un avocat fiscaliste peut intervenir dans des domaines très variés, tels que l’impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés, la TVA, l’impôt sur la fortune immobilière, la taxe foncière ou encore la taxe professionnelle.
Il est souvent amené à conseiller et défendre ses clients en matière fiscale.
Il peut donc devenir un allié important pour les entreprises qui vont pouvoir bénéficier de son expertise afin de réaliser une optimisation fiscale efficace.
En conclusion, le droit fiscal est une matière très complexe et particulièrement technique. Le juriste fiscaliste doit avoir un excellent niveau en droit civil, en droit des sociétés, en comptabilité mais aussi en anglais pour pouvoir comprendre les documents techniques que l'on lui demandera de traduire.